Le Petit Monde De DJENNIE

A vous qui me lisez

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ils jouent pour des millions

  Dans des palais de verre et d'acier

Chaussures fluo, ballon d'or au bout du pied

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Enfants des bidonvilles,

De l'autre coté des barbelés

Entendent les cris, Les chants des supporter

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Ils s'approchent le ventre vide

Chercher quelques restes de la grande fête

Epluchures ou canettes

Pour eux tout est merveille

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Pulvériser par les chants des supporter

Les ballons, Les millions, Les patries, Les nations

Ne cesseront jamais leur rituel

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Dans Les favelas 

 Le Ballon danse, tourne, Virvolte

De pieds en tourmants

​ Pour devenir le plus grand

143 jours, je t'aime

Des que la nuit étend son voile, 

ses silences

Mon esprit se retire au jardin des délices

Sentir un doux plaisir de survie et d'envie ,

des yeux dans l'interdit de mes idées noires ...

Plus de mélancolie dans ma vie, 

je laisse partir mes peines....

Un frisson dans ma bulle comme souvenir de mes secrets,

ma main glisse dans un dernier soupir,

mon épaule libère le trésor des baisers endormis ...

Je rêve encore de mes silences fragiles,

une larme glisse dans un doux murmure

Juste une ombre qui traverse mes rêves

et mon corps sera à nouveau revenir à la surface 

de ma vie ...

L'eau trouble mes angoisses, 

le silence apaise mon corps .

Alors je chasse mes rêves

Pour rien au monde je ne changerais un plus bel éveil ...

La nuit reviendra sans mon invitation ,

seul mes rêves prendra place dans ma bulle à nouveau

136 jours, je reve de toi chaques nuits mon petit coeur ..

A Line ...

Ton sourire embellissait ma vie

J'imaginais ton cœur dessiné tes proses

Sur tes feuilles de satin

Tu écrivais avec des doigts d'artiste

Délicate et fragile

J'avais la certitude

Que tes ouvrages étaient des

 chefs d'oeuvre

 

Tes sourires

Resteront à jamais dans mon cœur

Tes proses

J’espère les retrouvés

Vers d'autres coeurs dans l'attente de restauration

Pour que tes écrits ne soient jamais abandonnés

Ils resteront à jamais une empreinte dans ma vie

113 jours petit coeur, tu nous manques

 

Leurs courages dégagent les nuages

Quand elles pleurent des océans de larmes

Elles éteignent les feux de leurs souffrances

Enfants qui comprennent

Trop petits pour comprendre

Murmurent jusqu'à leurs oreilles

Les ragots déferlent les vagues qui provoquent les tempêtes

Enfants vivants dans l'absence

Dans leurs petits cœurs murmurent

Laissez moi pleurer dans les bras de ma Maman

J'ai besoin de sa douceur,

Je veux lui raconter mes peines 

Mais je sais, tu as tout lu dans mes yeux Maman

Sans jamais faillir

Elles écoutent leurs voix

Leurs chairs ne doivent pas souffrir

Elles profitent pleinement de leurs courtes présences

Elles les accompagnent, de loin, toute leur vie

Elle sont parties pour le fuir

Blessures qui ne se voit pas

Pire que les coups

Elle crient en silences

Une pensée en ce jour des mamans

A celles qui luttent pour leurs enfants

Je souhaite de tout cœur

Que les lois changent sur l'harcèlement moral

Que l'aliénation parental ne soit plus

Que vous soyez écoutés

Enfin c'est horiblement long

108 jours petit coeur, sache que ta Maman est une petite femme courageuse, je vous offre tout mon amour ...

Ils cherchent  la tendresse,

Un pétale d'amour, de douceur

Flagrance de bonheur qui embaument leur cœur

C'est une jour

Puis un autre

Sans ombre

Juste une vie 

C'est une vie

Sans songe 

Quelques pensées qui me rongent

Je me laisse glisser dans l'obscurité

Poison doux amer qui veut m'entraîner 

Les jours passent,

Rien ne change

Les jours passent

Ma peine se prolonge

C'est un mauvais rêve

Une vie

Une ombre

Chut ....

97 jours que je pense à toi petit coeur.Nous t'aimons ....